Interview de l'élue référente "habitat et centres-bourgs"

Vie de la structure

17 février 2021
Adjointe au maire de La Meyze et conseillère communautaire de la Communauté de communes du Pays de St-Yrieix, Céline BOYARD été élue référente « habitat et centres-bourgs » lors de l’installation de la nouvelle gouvernance en décembre dernier, en binôme avec Philippe SUDRAT (portrait à venir).

Comment avez-vous connu la Châtaigneraie Limousine ?
Je connais la Châtaigneraie Limousine depuis le début des années 2000, et d’abord dans le cadre de mes activités professionnelles à la Chambre d’Agriculture de la Haute-Vienne. A cette époque, il y avait un travail régulier entre les territoires dits « de projets » et les chambres consulaires, sur divers programmes de développement rural (dont le programme Leader).
Plus récemment, en tant qu’élue, nous avons activement participé à la démarche lancée par la Châtaigneraie Limousine autour de l’habitat participatif en centre-bourg.
 
Pour vous, quelle est la force d'un territoire de projets comme celui de la Châtaigneraie Limousine ?
Je trouve qu’il est important d’avoir une structure qui met en réseau les communes sur le territoire, pour leur permettre de se rencontrer et d’échanger sur certains sujets, de voir ailleurs ce qui se fait sur le territoire de la Châtaigneraie ou au-delà.
Il y a une expertise particulière au sein de la Châtaigneraie Limousine qui permet d’organiser ces échanges, cette mise en réseau, mais aussi d’élaborer et d’animer des programmes européens comme Leader.

Pourquoi avoir accepté d'être référente sur la thématique « habitat et centres-bourgs » au sein de la Châtaigneraie Limousine ?
Au cours de la précédente mandature, nous avions créé sur la commune de La Meyze, une commission sur la question du bourg. Nous avions dans ce cadre lancé une consultation auprès de la population pour recueillir son avis sur différents projets d’aménagement.
C’est avec cette première approche que j’ai intégré le groupe de travail « centre-bourg » de la Châtaigneraie. Tout de suite, la possibilité d’échanger avec d’autres communes et des partenaires comme le CAUE ou la DDT m’a plu. C’est un lieu d’interactions, où chacun vient avec ses questions, mais aussi ses solutions. Nous essayons de progresser de façon collective sur un sujet complexe et c’est très stimulant !